Voici un extrait de l'article paru le 26/11/08 sur le site du journal Le Soir :
L'ÉNERGIE NUCLÉAIRE n'est pas neutre pour le climat. Une étude estime que la filière émet en moyenne 66 grammes de C02/kWh.
Extraire l’uranium, le conditionner et le transporter représentent 38 % des émissions de CO2 de la filière nucléaire. © AFP.
L'énergie nucléaire est une source de production d'électricité qui n'émet pas de CO2. » Ce leitmotiv de l'industrie nucléaire et de ses défenseurs tente de conforter l'image, ces dernières années, d'une filière de production d'électricité propre et neutre au plan des émissions de CO2. Et donc favorable à la lutte contre le réchauffement climatique…
De l'autre côté du fleuve, ses opposants ne cessent de clamer que le nucléaire produit beaucoup de CO2 si l'on tient compte de l'ensemble du cycle de vie de l'atome, de l'extraction de l'uranium au démantèlement des centrales. Ainsi, le groupe de recherche d'Oxford n'hésite pas à projeter que si elle se maintient dans une proportion similaire, la filière nucléaire émettra en 2050 autant de gaz à effet de serre que les centrales au gaz les plus performantes en raison de la difficulté croissante d'extraire de l'uranium…
Face à ces arguments polarisés, Benjamin Sovacool, chercheur à l'université de Singapour, s'est penché sur les 103 études publiées sur la question à ce jour (1). Ne retenant que les publications versées dans le domaine public et récentes, Benjamin Sovacool a dû éliminer pas moins de 81 % des recherches en raison de leur faiblesse méthodologique et de l'absence de critères reproductibles pour l'industrie.
Conclusions ? Comme le détaille notre infographie, les 19 recherches consacrées au cycle de vie de l'industrie nucléaire laissent apparaître que le secteur émet en moyenne 66 grammes de CO2 par kilowattheure en raison de l'usage d'énergies fossiles tout au long de la filière…
Analyse intéressante d'un groupe de travail de l'Université libre de Bruxelles sur le problème de l’immigration et de la régularisation des «
sans-papiers » en 1999 :
– « Parce que la paix publique et le respect des personnes dans leur intégrité physique et
mentale est chose fondamentale … (il est) urgent que les instances politiques,
singulièrement le gouvernement, mettent au point des processus et procédures
réellement démocratiques, seules susceptibles de pacifier les esprits, discours et
comportements dans un domaine qui cristallise nos sentiments d’humanité et notre
entendement raisonné. Un élémentaire principe de réalisme couplé à la volonté d’élever
le débat à la hauteur de nos prétentions de liberté, d’égalité et de fraternité doit guider les
décisions de ceux qui se veulent être en charge de responsabilités politiques et
administratives. »
– « Nul ne sait combien d’étrangers se (re)trouvent en situation irrégulière sur le territoire
… (n’y en aurait-il qu’un ou une)… nous devons trouver une réponse aux questions
générées par sa présence. Cette réponse devra traduire notre exigence démocratique,
exigence faite de contraintes envers nous-mêmes (respect de formalités, de recours
judiciaires ou juridictionnels, explicitation des choix administratifs, sociaux et financiers,
etc.) »
– … « le tissu socio-économique est tramé par tous ceux qui sont là. Qu’ils y soient
officiellement ou officieusement. Un Etat n’est pas seulement démocratique par les vertus
de sa pensée, de son discours, de ses institutions, mais aussi (surtout ?) par ses actes
exemplaires signes d’une volonté farouche de recherche et de pratique de l’humain et de
l’égalité. Le système juridique doit incorporer ces caractéristiques. »
Le communiqué de presse du 24 novembre
Par conséquent, n'est-il pas urgent de tirer les leçons de la crise actuelle et de définir "un nouveau système de gouvernance mondiale" ?
Voici l'extrait d'un article fort intéressant rédigé par Arnaud Zacharie (secrétaire générale du CNCD-11 11 11) qui traite
de l'utopie du marché autorégulateur et des leçons encore non tirées de la crise :
CHRONIQUE Géostratego_par Arnaud Zacharie Vers une nouvelle « grande transformation » ? |
Dans un ouvrage majeur d’économie politique, publié en 1944, Karl Polanyi décrit de manière magistrale les origines politiques et économiques de l’effondrement de la civilisation du 19e siècle et la « grande transformation » que cet événement a provoquée − le krach de 1929, la Grande Dépression des années 1930, la montée du fascisme et du nazisme et la Seconde Guerre mondiale [1].
A lire sur le
site internet de Test Achat :
Test-Achats a fait une analyse approfondie de la valeur nutritionnelle de 17 sortes de céréales au chocolat et au miel mises sur le marché pour les enfants. La conclusion montre que ces produits contiennent beaucoup trop de sucre tandis que la teneur en sel et en graisse peut encore être améliorée.
Les emballages de ces céréales regorgent d'allégations concernant les vitamines, les minéraux et les fibres. Parents comme enfants sont donc persuadés de pouvoir consommer quotidiennement et même plusieurs fois par jour ce genre de céréales. C'est de l'hypocrisie. Les céréales du petit-déjeuner ne conviennent pas à une consommation journalière. Rien ne vaut un repas varié et plus équilibré pour bien démarrer la journée.
Test-Achats a également examiné combien de spots sur les céréales sont diffusés à la télévision. Les résultats sont étonnants : une moyenne de 34 pubs par jour. Le nombre d'enfants souffrant d'obésité augmente de manière effrayante. Une alimentation trop riche en graisse et en sucre ainsi que le manque d'activités physiques en sont les principales causes.
"Un record de 4.000 numéros de téléphone devraient avoir été été mis sur écoute en 2008 par la police et la justice, un chiffre qui s'explique principalement en raison de la hausse du nombre de dossiers de terrorisme, rapportent mercredi la Gazet van Antwerpen et Het Belang van Limburg, selon qui les écoutes sont souvent utilisées aussi dans les enquêtes visant des trafics de drogue et des faits de banditisme."
"En 2007, le coût de ces écoutes par la justice s'était élevé à quelque 10 millions d'euros."
(...)
Source : La Libre Belgique